le bonheur en France
- Cet évènement est passé.
Duo Laure Terrier / Sébastien Boucana
1 mars @ 18h00 - 19h00
Non renseigné
Silence. Pas si proche mais pas trop loin. Il est l’ami du temps. Elle de l’espace.
Lui souffle. Des souffles. Entre peaux. Entre les peaux. Et mue.
Elle silence. Respire. Fascias, os, pose, repose, sent et va. Met le contact. Est mue.
Dans le bien ici. Le bien présent.
Ça semblerait sérieux parce qu’assez profond, mais ça n’aurait pas peur d’être joyeux.
Ça semblerait silence parce qu’assez profond, mais ça n’aurait pas peur d’être souffle.
Ça semblerait proche parce qu’assez profond, mais ça n’aurait pas peur d’être loin.
Ça semblerait l’espace parce qu’assez profond, mais ça n’aurait pas peur d’être le temps.
Ça semblerait silence parce qu’assez profond, mais ça n’aurait pas peur d’être souffle.
Ça semblerait proche parce qu’assez profond, mais ça n’aurait pas peur d’être loin.
Ça semblerait l’espace parce qu’assez profond, mais ça n’aurait pas peur d’être le temps.
Laure Terrier : présence et danse
Danseuse et littéraire, elle s’est réinventée au travers du Contact Improvisation, du Body Mind centering et des pratiques somatiques, de la composition instantanée et du Life Art process. Elle pourrait ajouter le pogo, la marche, la maternité, le yoga et d’autres expériences transformatrices.
Elle dédie son temps à rencontrer des espaces et des lieux, comme on approche l’autre, avec tact, au rythme parfois brut de ses sens et perceptions. Elle barbouille les usages de corporéités plus ou moins humaines, plus ou moins sociales, plus ou moins autres.
Elle tricote des spectacles pour réchauffer les relations humaines et réinventer nos liens à l’espace public, au sein de Jeanne Simone. Elle se jette aussi avec joie dans la relation improvisée à l’ici maintenant avec des comparses hirsutes (David Chiesa, Benoit Cancoin, Mathias Forge, Anne-Laure Pigache, Anne-Julie Rollet, Antoine Mouton, Agnès Pelletier, Nicolas Desmarchelier, Damien Grange, Camille Perrin…)
Danseuse et littéraire, elle s’est réinventée au travers du Contact Improvisation, du Body Mind centering et des pratiques somatiques, de la composition instantanée et du Life Art process. Elle pourrait ajouter le pogo, la marche, la maternité, le yoga et d’autres expériences transformatrices.
Elle dédie son temps à rencontrer des espaces et des lieux, comme on approche l’autre, avec tact, au rythme parfois brut de ses sens et perceptions. Elle barbouille les usages de corporéités plus ou moins humaines, plus ou moins sociales, plus ou moins autres.
Elle tricote des spectacles pour réchauffer les relations humaines et réinventer nos liens à l’espace public, au sein de Jeanne Simone. Elle se jette aussi avec joie dans la relation improvisée à l’ici maintenant avec des comparses hirsutes (David Chiesa, Benoit Cancoin, Mathias Forge, Anne-Laure Pigache, Anne-Julie Rollet, Antoine Mouton, Agnès Pelletier, Nicolas Desmarchelier, Damien Grange, Camille Perrin…)
Sébastien Bouhana : peaux sensibles, tambour et objets
Improvisateur formé à l’école de batterie Dante Agostini de Bordeaux (Dominique Marseille) et à Music’Halle (Toulouse), joue aussi bien en solo,en petites formations et en grand ensemble.
Corps-son entre les peaux. Sa musique convoque l’espace-son.
Il accueille toutes les pratiques librement improvisées.
«La musique de Bouhana est extrêmement sensuelle (sensationnaliste dirait Pessoa) et corporelle.
Aucun formalisme ni intellectualisme n’est à l’œuvre ici, l’exploration est seulement médiatisée
par le corps et les sens : la peau de la percussion prolonge l’organisme de Bouhana,
les sens médiatisent et réalisent ce prolongement en donnant vie à des résonances inattendues et inouïes.»
Julien Héraud pour Improv sphère.
Improvisateur formé à l’école de batterie Dante Agostini de Bordeaux (Dominique Marseille) et à Music’Halle (Toulouse), joue aussi bien en solo,en petites formations et en grand ensemble.
Corps-son entre les peaux. Sa musique convoque l’espace-son.
Il accueille toutes les pratiques librement improvisées.
«La musique de Bouhana est extrêmement sensuelle (sensationnaliste dirait Pessoa) et corporelle.
Aucun formalisme ni intellectualisme n’est à l’œuvre ici, l’exploration est seulement médiatisée
par le corps et les sens : la peau de la percussion prolonge l’organisme de Bouhana,
les sens médiatisent et réalisent ce prolongement en donnant vie à des résonances inattendues et inouïes.»
Julien Héraud pour Improv sphère.
Voir et entendre : https://grandchahut.org/sebastien-bouhana-solo /